Visiteurs: 32602
Aujourd'hui: 18
Se connecter



S'inscrire
Mot de passe oublié

 
Episode 4 : Mais qui suis-je ?
 

Episode 4 : Mais qui suis-je ?



Date du début d'écriture : 13 avril 2013, 10:44
Date de publication : 09 décembre 2020 22:42



Dauneloade épisode 4 (clic droit -> "enregistrer sous")

Cet épisode est sous licence CC-BY-NC-ND-4.0: Attribution-NonCommercial-NoDerivs 4.0 International

Toutes les musiques de cet épisode ont été composées par nos soins. Pour plus d'informations sur le travail musical autour de l'univers Fructolien, consultez la page des musiques originales de la saga.

- Les confessions de Tartine :
Nous en avons mis du temps mais cette épisode 4 est maintenant disponible pour le plus grand bonheur de vos oreilles. Un épisode important pour Balthazar qui va marquer un changement important pour la suite de l'histoire (je n’en dirais pas plus…;).

“Balti of the Dead” :
J’aime beaucoup le film « Shawn of the Dead » et particulièrement son introduction. Le film commence sur le personnage principal, seul. Puis il est pris à parti par sa compagne, qui est donc présente en face de lui, puis son meilleur ami, puis les colocs de sa compagne, … etc. Au fur et à mesure, on découvrait ce qui entourait le héro. C’est ce que je voulais reproduire avec le début de cet épisode et l’apparition de nos personnages. Pour renforcer la comparaison, j’ai demandé à Rebeard de composer une musique semblable à cette de cette scène du film. L’avez-vous remarqué ? ^^

“IP, t’as l’air sympa comme robote“ :
Suite aux premières écoutes critiques, la scène principale de cet épisode a été retravaillé de nombreuse fois pour la rendre plus dynamique. Environ une minute de répliques déjà montées ont dû être enlevées. C’était un mal nécessaire pour que cette scène déjà très longue reste plaisante à l’écoute.

Un message d'amour :
Un grand merci à Schlag et Redbeard pour leur soutien et leur détermination. Nous avons déjà tant accompli ensemble et je nous souhaite d’aller le plus loin possible dans cette saga.

- Les confessions de Redbeard :

3 ans de rudes efforts (ouais, bon, faut pas abuser non plus), 2 confinements et une année de merde. C’est ce qu’il en coûta (Coty) de finir cet épisode 4. Que de remaniements (ministériels) ! À commencer par l’introduction qui eut dû être plus longue mais que nous tronquâmes. Une énième dispute entre le narrateur et Pingu, c’eut fait trop. Nous entendîmes les critiques. Je vous ai compris, tout ça. Il y a donc moins d’interventions du narrateur dans cet épisode. On eut quand même recours au « wouche » magique pour faire mieux passer la (très) longue heure de colle de balti. C’est dans cette séquence que le personnage commence son développement supra-héroïque. Car je suis sûr que vous l’aurez deviné, notre cher Balti a bien un pouvoir. C’est juste qu’il a un peu de mal avec.

Les difficultés d’acteur :

J’ai dû tellement enregistrer pour cet épisode que j’ai peur à présent. Peur d’ouvrir un jour, par mégarde, ce maudit dossier. Qu’y trouverais-je ? Des souvenirs affreusement difformes, mutés tel un virus fourbe qui ronge mon disque dur ? Si rien n’est fait, les répliques de la salle W0rt prendront tout l’espace disque. Il nous faut un vaccin.
Sérieusement : j’ai fait 3 sessions à des intervalles très éloignées, l’équivalent de plusieurs heures d’enregistrement et traversé plusieurs refontes de l’épisode, ainsi qu’une bourde temporelle involontaire .
C’était quand même bien marrant d’improviser des couenneries : le « oui » en réponse aux assauts d’Alizia, le cassage de gueule de José (car oui, c’est moi José ! C’est beau, vé !), les épithètes fleuries adressées à IP, la pépée des îles, etc.
Mais comme d’habitude, les répliques sérieuses m’ont donné du fil à retordre.

La composition des musiques :

Cet épisode a beaucoup moins de musique que le troisième, mais il a fallu quand même faire la navette avec Schlag pour caler la musique de la salle W0rt avec celle du cours d’Eliman Faye.
Tristesse ineffable : le générique tant aimé ne vous fera pas trémousser votre joli derrière à la fin de l’épisode. Vous comprendrez bien assez tôt.


- Les confessions de Schlag :

Cet épisode érode Hérode en mode chaud de le finir. Je soupire, c’est de pire en pire. Sire !

Tout d’abord, nous avons fini l’épisode il y a déjà plus de six mois ! Sauf que, moche, dans la tronche, dans les bronches : nous nous aperçûmes que le faîte et la cîme manquaient : qu’à cela ne tienne, Etienne, club des cons il manquait, tinquiète, aussi sec, un club des cons apparaît. Décision fût prise, risiblement, de l’écrire immédiatement.

Nous l’écrivimes en 15 minutes, relectures comprises. Oui, nous sommes cons, ça s’entend et ça sous-tend dans nos textes à la finesse absente.

Par contre, pour l’enregistrer, ouyouyouye les petits n’enfants : pas glop, hips ! Arg ! Prout.

En un mot comme en mille (feuille) [prend une voix rauque et grave] : Coronavirus, connard de virus ! [reprend sa voix normale] effectivment, il nous a fallu bien longtemps pour enregistrer cette simple boutade. Mais ne voulant sortir un épisode incomplet, nous prîmes le risque d’attendre pour finir d’enregistrer tous ces petits détails qui font qu’à la fin, ben on a un produit de qualité (5 franc le kilo, ça c’est de la bonne mandarine, madame ! ‘faut vous laisser tenter !).

Bref. Tout ça pour dire qu’on en a chié, mes petits moutons.

Par ailleurs, nous avons enfin donné un nom à nos cons ! Nous vous présentons José, Ferdinand et Bob, le petit nouveau ! Des vainqueurs. De vains coeurs. Qui portent leurs couilles haut, le coeur épanoui, et le cerveau flétri.

En ce qui concerne les musiques, Redbeard a eu plus de travail que moi, et a dû se fader la composition d’un gros paquet de trucs compliqués qu’il vous esspliquera mieux que moi. J’eus à composer un long morceau évolutif futuristico-cyberpunk. Joie. L’intrication avec les musiques des scènes de cours composées par Redbeard a par contre été un exercice périlleux. La solution vint au final d’une composition à trous que je lui envoyai, et à laquelle il répondit par un remplissage de trous, (activité dans laquelle il excelle).

Bref : un travail d’équipe joyeux, désorganisé, bordélique et amusant. Naïf et con. J’adore mes copains. L’un d’eux plus que les autres, mais je ne vous dirai pas lequel.

Mais on est content d’avoir fini quand même.

- Les planquages de Schlag :

Dans cet épisode, avez-vous entendu :

Asterix et Obélix - mission Cléopâtre :
- "Serge !"
- "C'est de la potion magique ? -Non, c'est de la soupe de marron"

Signé furax :
- "Vous avez une bien jolie maison, monsieur. Et une bien jolie serre. -Ah ce n'est pas une serre monsieur ! -Ah non ? - C'est une maison de repos. -Une maison de repos ? Mais pour qui donc ? -Pour herbes folles !"

Portal 2 :
- "ça, c'est la salle des disjoncteurs ! Allez ! On entre ! Cherchez un disjoncteur marqué "module évacuation", d'accord ? Et ne touchez à rien d'autre ! Le reste ne nous intéresse pas ne touchez rien d'autre, ne regardez rien d'autre ... enfin, forcément, il faut regarder partout pour trouver le module d'évacuation, mais ... dès que vous voyez quelque chose qui n'est pas marqué "module évacuation" regardez ailleurs ! On regarde et on vérifie, et hop on regarde plus et on passe au suivant ! d'accord ? Et vous allez dire que je me répète, mais surtout : ne touchez à rien !"
- "Que la lumière soit ! Dixite ... Dieu. Je citais ... Dieu ..."

Mario bros :
- Son du bonus.

Kaamelott :
- "Mais tout à fait !"
- "On va essayer, avant, avant d'aller gueuler, hein, de bien définir ... POURQUOI, hein, qu'on gueule ... -Pourquoi qu'on gueule ? Hhh !"
 
Cette page a été consultée 1062 fois